
J’aimerai dire des choses, mais je me contenterai de brasser de l’air. En même temps, c’n’est pas si mal de brasser de l’air. Enfin, le mieux, c’est de brasser de la bière. Mais ça, c’est encore autre chose !
Cependant, on dénigre beaucoup le fait de brasser de l’air je trouve. Si cela peut se comprendre. Il ne faut pas oublier l’aspect technique de la chose. Brasser de l’air c’est comme brasser dans l’eau. Il faut savoir y faire.
Bien oui, parfois on pense qu’on n’est en train de ne rien dire tandis qu’on dit quand même quelque chose. Et ce n’est pas rien ! Alors, on gesticule, on gesticule, et voilà qu’un fait pertinent vient s’imicer dans le propos.
C’est alors toute l’entreprise de la logorrhée aérienne qui s’écroule en faisant prendre au discours de la hauteur. Vous me répondrez, « mais les oiseaux ne prennent-ils pas de la hauteur en brassant de l’air justement ? ».
Vous n’aurez pas bien tort. En ceci, je dois vous donner raison. On doigte du point une chose par là-même. En brassant de l’air, on peut finir par s’appuyer dessus pour obtenir un résultat qui nous fasse atteindre des cimes.
Or, sont-ce des bonnes cimes ou des cimes mal, comme lorsqu’on se poursuit jusqu’après la virgule ? Je dirai, des mauvaises, car à trop s’élever, on peut avoir le vertige.
Vous voyez où je veux en venir ? Je l’espère puisque, personnellement, je ne sais pas trop où je vais. Il aurait sûrement fallu que je prenne un peu de recul sur mon récit.
Toutefois, ne nous obstinons pas à débattre. Poursuivons notre combat. Brassons de l’air tant qu’il en reste. C’est bien là une manière agréable de s’aérer l’esprit de manière ludique sans craindre de trop grandes réprimandes !
Cependant, on dénigre beaucoup le fait de brasser de l’air je trouve. Si cela peut se comprendre. Il ne faut pas oublier l’aspect technique de la chose. Brasser de l’air c’est comme brasser dans l’eau. Il faut savoir y faire.
Bien oui, parfois on pense qu’on n’est en train de ne rien dire tandis qu’on dit quand même quelque chose. Et ce n’est pas rien ! Alors, on gesticule, on gesticule, et voilà qu’un fait pertinent vient s’imicer dans le propos.
C’est alors toute l’entreprise de la logorrhée aérienne qui s’écroule en faisant prendre au discours de la hauteur. Vous me répondrez, « mais les oiseaux ne prennent-ils pas de la hauteur en brassant de l’air justement ? ».
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