

Au début, j’avais écrit un texte. Vous ne le lirez pas (maintenant) car, il est trop beau. J’en ai écrit quelques lignes, puis quelques paragraphes. Ensuite, bien j’ai vu que ça n’irait pas.
Je commence à deviner ce qui vous intéresse. C’est l’absurdité d’un propos dont la cohérence n’en est pas moins entachée.
L’élan lyrique d’un cœur dont l’engouement pour le tragique ne peut intéresser un public dont le clic est si précieux.
Il me faut vous divertir. D’ailleurs, c’est lundi comme disait l’autre, il faut rompre avec la monotonie annoncée d’une semaine à peine entamée. Alors, rions.
C’est l’histoire d’une femme fontaine qui refaisait son parquet flottant. Ah, la blague a fait un plouf. En même temps, elle n’était pas ouf (je parle bien sûr de la vanne).
Parfois, il faut justement faire attention à ne pas ouvrir la vanne car, lorsque je flot a trop de pression, on galère à l’arrêter. On se met à ramer et finalement on coule.
C’est ainsi que, au fil de l’eau, s’écoule un phrasé sans doute douteux sur une expression qui l’est tout autant. Mais, sachez que, c’est ce qui aura toujours fait réagir mon entourage.
La « femme fontaine », en tant qu’expression, constitue paradoxalement une bouée de sauvetage. J’ai tenté d’en faire de même avec les « homme-troncs », mais la bouture devait être aussi mauvaise que la boutade.
Bref, s’il s’agit de rire, il ne faut jamais oublier que l’impertinence peut être l’outil d’une plus grande pertinence. Alors j’espère que, plus nous rirons, plus nous apprendrons.
Et comme la femme fontaine, le rire c’est cool (ou s’écoule, au choix)
Je commence à deviner ce qui vous intéresse. C’est l’absurdité d’un propos dont la cohérence n’en est pas moins entachée.
L’élan lyrique d’un cœur dont l’engouement pour le tragique ne peut intéresser un public dont le clic est si précieux.
Il me faut vous divertir. D’ailleurs, c’est lundi comme disait l’autre, il faut rompre avec la monotonie annoncée d’une semaine à peine entamée. Alors, rions.
C’est l’histoire d’une femme fontaine qui refaisait son parquet flottant. Ah, la blague a fait un plouf. En même temps, elle n’était pas ouf (je parle bien sûr de la vanne).
Parfois, il faut justement faire attention à ne pas ouvrir la vanne car, lorsque je flot a trop de pression, on galère à l’arrêter. On se met à ramer et finalement on coule.
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Et comme la femme fontaine, le rire c’est cool (ou s’écoule, au choix)
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