

Imaginez qu’il suffise d’oublier un problème pour qu’il se résolve. Bon, d’une part, la maladie d’Alzheimer se guérirait d’elle-même mais encore, la vie serait bien plus douce.
Nous mangerions probablement beaucoup de ces fleurs de lotus qui firent oublier aux compagnons d’Ulysse de rejoindre Ithaque. Toutefois, nous serions aussi bien plus paisibles.
Cependant, si nous oubliions les causes des problèmes. Comment pourrions-nous les anticiper pour ne pas qu’ils se reproduisent – du moins, lorsque nous pouvons agir sur les causes ?
On doit accorder à l’erreur au moins cette utilité qu’elle a de nous apprendre à ne pas réitérer les choses qui nous causent du tort. Du moins, c’est ce qu’elle tente de faire. Sans cela, à quoi serviraient ses mauvaises leçons qu’elle nous inflige ?
A quoi servirait la douleur si ce n’était pour nous informer d’un dommage. Je ne peux me résoudre à conclure qu’elle serait la conséquence unique de l’absurdité fourbe et sadique de la vie.
Mais alors, l’oubli ne serait pas si bien car il nous empêcherait de recommencer. Or, d’un autre côté, on pourrait bien recommencer, vue que les dommages seraient immédiatement guéris.
Ce faisant, que penser… serait-ce un bien, serait-ce un mal ? Ou bien, la question ne se poserait-elle-même plus ? Je ne saurai trop répondre.
Heureusement, il n’en va pas ainsi. Dans les faits, l’oubli, la peine et les leçons qui en découlent demeurent bien réelles.
L’oubli est une lame dont les deux tranchants peuvent être aussi terribles qu’utiles. Plus encore, ils peuvent être les deux à la fois. Si ce n’est pas un joli paradoxe ça… Je ne sais pas ce que c’est !
Nous mangerions probablement beaucoup de ces fleurs de lotus qui firent oublier aux compagnons d’Ulysse de rejoindre Ithaque. Toutefois, nous serions aussi bien plus paisibles.
Cependant, si nous oubliions les causes des problèmes. Comment pourrions-nous les anticiper pour ne pas qu’ils se reproduisent – du moins, lorsque nous pouvons agir sur les causes ?
On doit accorder à l’erreur au moins cette utilité qu’elle a de nous apprendre à ne pas réitérer les choses qui nous causent du tort. Du moins, c’est ce qu’elle tente de faire. Sans cela, à quoi serviraient ses mauvaises leçons qu’elle nous inflige ?
A quoi servirait la douleur si ce n’était pour nous informer d’un dommage. Je ne peux me résoudre à conclure qu’elle serait la conséquence unique de l’absurdité fourbe et sadique de la vie.
Mais alors, l’oubli ne serait pas si bien car il nous empêcherait de recommencer. Or, d’un autre côté, on pourrait bien recommencer, vue que les dommages seraient immédiatement guéris.
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