

Il était une fois un monsieur qui n’avait plus de dent. Il ne pouvait manger comme il le souhaitait et commençait à en souffrir. Manquant de dent et donc d’autonomie, il demanda à ce qu’on l’aida.
C’est ainsi qu’il rencontra autrui, un aidant. Cette personne se rendait chez lui. Dans son sac se trouvait plusieurs outils. D’abord, une cuillère et quelques soupières, mais aussi d’autres choses plus utiles.
En effet, elle était gentille. Elle était attentionnée. Elle était magnanime et disponible. Elle écoutait et discutait. Elle était présente et aimante. Elle était finalement, bien plus qu’une simple aidante.
C’était une personne sage et digne permettant à l’autre de rester sage et digne. Sa bonté permettait à l’autre d’endurer les affres de ses souffrances et préserver son intelligence.
Or, un jour, on demanda à cette personne d’en faire plus que son corps ne pouvait assumer. Son cœur, lui, restait bien accroché. Seulement, il commençait à être fatigué de devoir ainsi pomper.
L’aidant qui aidait le monsieur qui n’avait plus ses dents commençait à peiner, au point qu’il fut sur les dents de ne pouvoir aider correctement celui qui n’avait plus ses dents.
Alors voilà ce que je dirai : s’il y a des gens qui aiment aider plus que tout au monde. Il faut, eux-aussi les protéger. En effet, un aidant qui finit sur les dents aura à son tour besoin d’un aidant et ne pourra plus aider comme avant.
C’est ainsi qu’il rencontra autrui, un aidant. Cette personne se rendait chez lui. Dans son sac se trouvait plusieurs outils. D’abord, une cuillère et quelques soupières, mais aussi d’autres choses plus utiles.
En effet, elle était gentille. Elle était attentionnée. Elle était magnanime et disponible. Elle écoutait et discutait. Elle était présente et aimante. Elle était finalement, bien plus qu’une simple aidante.
C’était une personne sage et digne permettant à l’autre de rester sage et digne. Sa bonté permettait à l’autre d’endurer les affres de ses souffrances et préserver son intelligence.
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