
Il y a ceux qui souhaitent se pavaner comme des coqs devant la cour. Il y a des individus au comportement de moutons. Il y a des ânes qui ne font que braire. Et enfin, il y a ceux qui finissent chèvres de voir tout cela.
Tout ça, tous ceux-là pris ensemble forment une jolie petite société. On se demande parfois comme elle tient, mais elle tient. L’absurde porte généralement une certaine cohérence.
Les moutons écoutent les ânes braire et finissent par choisir l’un d’entre eux pour mener le troupeau. Drapé dans l’importance de son rôle, il fait le coq et tire son mérite du regard des autres.
Les rôles ne sont jamais bien fixes. Ou plutôt, ce sont leurs représentants qui changent. Les rôles, eux, restent globalement les mêmes. Le manège tourne sur lui-même et on finit par en avoir le tournis.
Toutefois, il faut bien que le coq domine le bruit des ânes qui tentent de le conspuer pour qu’il puisse être suivit du peuple de moutons, sans quoi tout cela ne pourrait fonctionner.
Or, que cela fonctionne si bien, c’est bien ça qui rend chèvre. On veut un peuple de moutons qui soit doux comme des agneaux. C’est pourquoi on le garde dans l’enfance.
Cependant, le loup guette. Ou plutôt, c’est son ombre qui est bien plus angoissante. C’est elle qui balade la troupe de gauche à droite. Mais, malgré cette oscillation, elle file droit.
Ainsi, nous avons donc des moutons sages comme des agneaux avec à leur commandement un coq qui braille plus fort que les autres ânes et l’ensemble tente d’éviter l’ombre d’un loup.
Tout ça a de quoi nous rendre chèvre. La vache…
Tout ça, tous ceux-là pris ensemble forment une jolie petite société. On se demande parfois comme elle tient, mais elle tient. L’absurde porte généralement une certaine cohérence.
Les moutons écoutent les ânes braire et finissent par choisir l’un d’entre eux pour mener le troupeau. Drapé dans l’importance de son rôle, il fait le coq et tire son mérite du regard des autres.
Les rôles ne sont jamais bien fixes. Ou plutôt, ce sont leurs représentants qui changent. Les rôles, eux, restent globalement les mêmes. Le manège tourne sur lui-même et on finit par en avoir le tournis.
Toutefois, il faut bien que le coq domine le bruit des ânes qui tentent de le conspuer pour qu’il puisse être suivit du peuple de moutons, sans quoi tout cela ne pourrait fonctionner.
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