
Scénaroptik récidive, après avoir tourné quatre épisodes l'an passé, l'association remet le couvert avec huit nouveaux épisodes de sa série les Orfèvres.
Matthieu Guingouain, producteur et homme à tout faire de l'association Scénaroptik. nous raconte la naissance de ce projet de cinéma né de sa rencontre, il y a bien longtemps, avec Yannick Orveillon le réalisateur. On reconnaît aisément le style d'Audiard dans ces épisodes courts, de trois minutes. Mais la comparaison avec l'univers des Tontons Flingueurs est totalement assumée, l'idée c'est avant tout de se faire plaisir et de faire rire. Pour cette première véritable saison, le projet prend de l'ampleur,plus d'épisodes, plus d'acteur, de moyens et de temps de tournage. Si ce n'est pas un aboutissement, Scénaroptik espère ne pas se cantonner, cette fois-ci, à la diffusion internet, mais pourquoi pas, décrocher une petite place à la télévision. En attendant le jour J, on peut toujours aller apprécier les Orfèvres sur grand écran, au festival Court en Betton les 16 et 17 mai prochains.
Matthieu Guingouain, producteur et homme à tout faire de l'association Scénaroptik. nous raconte la naissance de ce projet de cinéma né de sa rencontre, il y a bien longtemps, avec Yannick Orveillon le réalisateur. On reconnaît aisément le style d'Audiard dans ces épisodes courts, de trois minutes. Mais la comparaison avec l'univers des Tontons Flingueurs est totalement assumée, l'idée c'est avant tout de se faire plaisir et de faire rire. Pour cette première véritable saison, le projet prend de l'ampleur,plus d'épisodes, plus d'acteur, de moyens et de temps de tournage. Si ce n'est pas un aboutissement, Scénaroptik espère ne pas se cantonner, cette fois-ci, à la diffusion internet, mais pourquoi pas, décrocher une petite place à la télévision. En attendant le jour J, on peut toujours aller apprécier les Orfèvres sur grand écran, au festival Court en Betton les 16 et 17 mai prochains.
